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Laver Son Linge Et Les Blanchisseurs, L'hygiène De Vie En Égypte Ancienne !



1 Laver son linge (blanchisseurs) Hygiène en Egypte antique htpp://arkenciel.worpress.com:! "##$ Les Hommes Se sont bien eux, les Hommes qui avaient la charge de laver le linge en Egypte antique: Tombe d'ipouy (au Nouvel Empire, vers 1200 av. J.-C- Deir El-Medineh ) Cette scène décrit bien cette activité, des blanchisseurs. Ils lessivent et, tordent le linge confié par les villageois. Des couffins servent à transporter le linge. Tout cela démontre bien la pénibilité de ce type de travail! Les lavandiers sont habillés d'un pagne, simple et, dessinés d'un trait hâtif...




Laver son linge et les blanchisseurs, l'hygiène de vie en Égypte ancienne !



2 Néanmoins, il semble que ces derniers ait été chanceux, puisque l'environnement de leur lieu de travail indique la présence de bassin! Généralement le linge est lavé dans le Nil et, à cette époque les crocodiles fréquentaient le fleuve: cette raison explique pourquoi les femmes et leurs enfants en étaient écartés. Dessin d après N. G. Davies, The Ramesside Tombs at Thebes, 1927, pl. XXVIII. Scène supérieure correspond à des lavandiers au bord du Nil. Scène inférieure correspond à des lavandiers utilisant des couffins. Hesmen Le natron était employé afin de laver le linge! Ce "tensioactif" provenait de dépôt d'évaporation sis sur les bords des lacs de l'ouadi-natroun, à l ouest du Delta. Comment différenciaient-ils le linge? Mais comment procédaient-ils afin de reconnaître le propriétaire des linges?


3 Alors que les lavandiers ne savaient : - ni écrire, - ni lire...! Les femmes, maîtresses de maison, utilisaient des d'ostraca, ou elles annotaient au moyen de signes et de dessins... D après B. Bruyère, FIFAO 15, 1937, fig. 32, dans B. Mathieu, Techniques, culture et idéologie, deux exemples Egyptiens : les navires de Kaïemânkh et la toise du foulon, , L apport de l Egypte à l histoire des techniques, IFAO, BE 142, Les différentes formes correspondaient aux linges... Le nombre, la dimension se reconnaissait au moyen de marques spécifiques. Exemple : - une bande "culotte" se portant sous le pagne était concrétisé par un triangle. - une chemise au moyen d'un carré ou on remarquait une encolure.


5 que les deux côtés (du linge) soient battus par tes soins! (1) C est lui qui bat mais c est lui qui pleure comme s il était battu! Les larmes sont inspirées par les éclaboussures d eau sur le visage du blanchisseur. Motivation Afin de pousser les élèves (très petite minorité) à apprendre on avait l'habitude d'user des textes dévalorisant certains métiers! De manière à ce que les étudiants en question se rendent compte qu'il n'y avait point e de meilleure profession que celle de scribe. Littérature amoureuse B. Mathieu, La poésie amoureuse de l Egypte ancienne. Recherches sur un genre littéraire au Nouvel Empire, IFAO, BE 115, 1996, Je vous présente une antithèse de part la littérature dite amoureuse: jeune homme rêvant d être le blanchisseur de sa bien-aimée (sa sœur). Retrouver avec le vêtement: - celle qui le porte, - avec en prime l odeur de son corps, imprégnant les fibres du lin : Puissè-je être le blanchisseur du linge de la sœur pour un seul mois! Je serais fortifié de manier les vêtements, qui auraient approché son corps ; C est moi qui laverais les huiles qui se trouvent dans son foulard. Je frotterais mon corps de sa belle étoffe, Je serais en joie, en allégresse A voir également La toilette un acte quotidien (1) : hygiène en Egypte antique


Il ne faut pas la confondre avec la laveuse, simple ouvrière qui pouvait être employée à façon par une lavandière ou entreprise de lavage en gros, ou bien faisait profession autonome. Sa fonction consistait à laver le linge grossier ou peu délicat, de clients, le plus souvent les torchons, les grands draps, les robes et habits communs[2]. Une appellation voisine était buandière lorsque l'ouvrière travaillait en buanderie et non en plein air ou sous un toit de lavoir. Dans le midi de France, en Languedoc et Provence, la bugadière est essentiellement l'employée laveuse ou l'entrepreneuse lavandière chargée de la lessive ou buée, pour le compte d'une maison bourgeoise ou de clients occasionnels.


La quatrième opération consiste au lavage des linges retirés du cuvier, à l'eau courante et propre de la fontaine ou du simple ruisseau, de la rivière ou mieux au lavoir à eau courante équipé par la collectivité et souvent couvert au XIXe siècle. Avec une brosse, la lavandière frotte le linge sur sa planche à laver, long support plat en bois munis de rainures[5]. Elle le frappe avec son battoir[6]. Il s'agit de mouvoir et utiliser la moindre parcelle de savons, solubilisant les graisses et les poussières, produits in situ de la saponification qu'elle vient de conduire avec succès au cours de la précédente étape. Ainsi le lin écru, à force de lavages répétés, devient blanc.


L'histoire des toilettes remonte à l'origine de la civilisation : dès qu'un grand nombre de personnes se trouve réuni au même endroit, il y a besoin d'un système pour évacuer les ordures et les excréments. Les archéologues ont mis au jour des vestiges de réseaux d'eau voire de toilettes à chasse d'eau. La ville de Harappa, au XXVe siècle av. J.-C., dans la civilisation de la vallée de l'Indus) comprenait des toilettes fonctionnant à l'eau dans chaque maison, liées par des drains couverts de briques d'argile cuite ; d'autres villes comme Mohenjo-daro et Lothal présentent des systèmes similaires. On retrouve des égouts en briques similaires en Mésopotamie, ainsi que des tuyaux en terre cuite dans les palais minoens, qui transportaient l'eau sous pression aux fontaines. Des tranchées en pierre transportaient les eaux usées[10]. Des systèmes similaires auraient existé en Égypte et en Chine ancienne[réf. souhaitée]. 076b4e4f54


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